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samedi 14 avril 2012

La nécessité de la lutte armée en Kabylie. - YouTube.flv - YouTube

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Publiée le 14 avril 2012 par 
L'islam nous a dépossédé de notre courage, et surtout de notre héroïsme connu par les plus braves de nos ennemis. Maintenant on est devenu des êtres vulnérables, manipulés à leur guise, des marionnettes contre Israel et l'Amérique , alors que ces derniers partagent avec nous le même ennenmi, celui de l'arabisme et l'islamisme honteux.
Luttons ensemble, par les armes contre les états coloniaux d'Afrique du nord..
Vive la Kabylie indépendante, au coté de l'Azawad... réaliser par Mass LITI

samedi 3 décembre 2011

Les villageois réclament justice - Actualité - El Watan

Les villageois réclament justice - Actualité - El Watan

Akerrou, 5 jours après la bavure militaire

Les villageois réclament justice

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le 04.12.11 | 01h00 Réagissez

«Notre population veut que ces bavures cessent. Elle demande aussi que justice soit faite afin d’éviter d’autres victimes dans les mêmes circonstances, à l’avenir», explique un habitant de Tigounatine.

Cinq jours après le drame, la blessure est toujours béante chez les citoyens de Tigounatine, dans la commune d’Akerrou, à une soixantaine de kilomètres à l’est de Tizi Ouzou. Ils n’arrivent pas à oublier ce mardi fatidique qui a plongé le village dans l’émoi et la consternation après la mort de deux villageois, tués par des militaires alors qu’ils revenaient d’une partie de chasse à la périphérie de cette bourgade sise entre la forêt de Yakouren et celle de Tamgout. Les habitants de Tigounatine, qui ont enterré dans la douleur, jeudi, leurs enfants, comptent interpeller les autorités concernées sur ces bavures militaires qui ont coûté la vie à des citoyens de ce village.
D’ailleurs, pour rappel, selon les villageois, trois autres victimes sont mortes dans les mêmes circonstances.
«En 1995, trois personnes ont été tuées dans une embuscade du côté de Tifrit Nath El Hadj. Notre population veut que ces bavures cessent. Il faut savoir aussi que ces deux chasseurs ont été tués dans une bavure militaire à 200 m seulement du village. A côté du lieu du drame, d’autres villageois faisaient la cueillette des olives. On cherche la paix et la sérénité pour notre village. On ne veut pas que d’autres citoyens meurent dans les mêmes circonstances», nous a expliqué un jeune, membre de la commission dégagée à l’issue de l’assemblée générale des villageois, tenue vendredi dans la soirée, pour discuter des suites à donner à la mort de Rafik Haddad, 17 ans, et Ramdane Maâtoub, 65 ans, deux chasseurs tués, mardi dernier, par des éléments de l’ANP dans une embuscade.
«La réunion des habitants de Tigounatine, qui s’est tenue le week-end, a abouti à la mise sur pied d’une commission chargée d’élaborer une plateforme de revendications à remettre au wali et au président de l’APW, avant la fin de la semaine», a-t-il ajouté, tout en précisant que les points essentiels de cette plateforme porteront sur l’indemnisation des parents des victimes. «Notre population attend des représentants des autorités civiles et militaires les promesses faites lors de leur déplacement à notre village après le drame. Ils nous ont rassurés sur beaucoup de choses. Donc, nous allons les saisir dans quelques jours. Nous demandons aussi qu’une enquête sérieuse soit diligentée afin de situer les responsabilités dans ce drame», a précisé un autre membre de la même commission, qui rappelle que «le commandant du secteur, qui a présenté ses excuses aux familles des deux défunts, s’est engagé à traduire devant les juridictions compétentes les responsables de cette bavure».
Notre interlocuteur a souligné que «des membres des familles des victimes seront présents lors du procès. La population veut que justice soit faite afin d’éviter d’autres victimes dans des situations similaires, à l’avenir», a-t-il- précisé. Notons, par ailleurs, que la commission dégagée lors de l’assemblée générale des villageois, vendredi, devait se réunir, hier en fin de journée, à l’effet de rédiger une plateforme de revendications.
Hafid Azzouzi

Haut niveau de corruption au sein des institutions de l’Etat - Actualité - El Watan

Haut niveau de corruption au sein des institutions de l’Etat - Actualité - El Watan

Un rapport de Transparency International classe l’Algérie à la 112e place

Haut niveau de corruption au sein des institutions de l’Etat

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le 03.12.11 | 01h00 Réagissez
   La corruption en Algérie est pratiquée à tous les niveaux.
zoom | © Souhil. B
La corruption en Algérie est pratiquée à tous les...

L’Algérie, accoutumée aux mauvais classements dans les rapports internationaux, ne déroge pas à sa réputation.

Le rapport de l’organisation Transparency International, publié le 1er décembre, la classe, sans surprise, en 112e position sur un total de 182 pays. Avec un indice de perception de la corruption de 2,9 sur une échelle de 10, le pays a perdu 7 places en une année. Une note d’autant plus alarmante qu’elle atteste, selon les mesures de l’organisation internationale, d’un haut niveau de corruption au sein des institutions de l’Etat.L’Algérie est à la traîne, y compris dans le Monde arabe. Les pays du Golfe se joignent au club des pays les plus transparents, à l’exemple du Qatar (22e place), des Emirats arabes unis (28e), du Bahreïn (46e), Oman (50e) et le Koweït (54e). Elle est également mauvaise élève en comparaison avec les autres pays du Maghreb, comme le Maroc (80e) et la Tunisie (73e).
Par rapport aux pays africains, l’Algérie fait mieux que le Mali, la République du Congo et le Nigeria, mais elle est tout de même derrière le Malawi, la Zambie et le Lesotho.
L’Association algérienne de lutte contre la corruption (AACC), présidée par Belkacem Hadjadj, précise, dans un communiqué, que l’Algérie a fait l’objet de sept enquêtes et études d’organisations internationales indépendantes, qui convergent toutes vers les mêmes résultats.«L’indice 2011 note 183 pays et territoires de 0 (extrêmement corrompu) à 10 (extrêmement intègre) selon les niveaux de corruption perçus dans le secteur public. Il utilise les données de 17 enquêtes portant sur des facteurs tels que l’application des lois anticorruption, l’accès à l’information et les conflits d’intérêts», est-il expliqué, précisant que ces mauvais résultats de l’Algérie, pour la neuvième année consécutive, ne sont pas une surprise. «Ces dernières années ayant été marquées non seulement par une explosion des affaires de grande corruption, mais aussi par une totale absence de volonté politique du pouvoir à lutter contre la corruption», rappelle l’association.
Le communiqué de l’AACC indique qu’avant le Printemps arabe, un rapport de Transparency International portant sur la région Moyen-Orient-Maghreb soulignait que le népotisme, les pots-de-vin et le clientélisme étaient si profondément ancrés dans la vie quotidienne que même si des lois anticorruption étaient en place, elles n’avaient que peu d’effet, surtout lorsqu’elles sont de très mauvaise qualité et ne sont pas du tout appliquées, comme c’est le cas en Algérie. Et d’asséner : «Le pouvoir algérien ne fait pas uniquement semblant de lutter contre la corruption – ce qui ne trompe plus personne –, il s’acharne surtout à combattre les organisations et les militants politiques et associatifs qui dénoncent la corruption et essaient de multiplier les initiatives pour la contrer.»
Il est à noter, enfin, que le pays le plus vertueux au monde serait, selon le classement de Transparency International, la Nouvelle-Zélande, suivie de près par les pays scandinaves, Singapour et l’Australie.
Amel Blidi