Canada
La Kabylie a plus que jamais besoin de ses enfants là où ils se trouvent. Chacun apportera sa petite pierre pour l’édification d’un Etat Kabyle. Un groupe d’activistes culturels Kabyles a appelé à une levée de fonds pour l’achat de livres. Des livres en Tamazight qui seront acheminés vers la localité d’Aokas, 30 km à l’est de la ville de Vgayet.
28/02/2013 - 14:52 mis a jour le 28/02/2013 - 14:52 par
L’apport de la diaspora Kabyle est très précieux pour la Kabylie. La communauté kabyle s’organise à l’étranger, notamment au Canada. D’intenses activités culturelles, artistiques et de solidarité s’organisent. C’est une opportunité pour le peuple Kabyle d’affirmer son existence et sa solidarité et fraternité ancestrales. La Kabylie a plus que jamais besoin de ses enfants là où ils se trouvent. Chacun apportera sa petite pierre pour l’édification d’un Etat Kabyle. Un groupe d’activistes culturels Kabyles a appelé à une levée de fonds pour l’achat de livres. Des livres en Tamazight qui seront acheminés vers la localité d’Aokas, 30 km à l’est de la ville deVgayet.
Les responsables de cette levée de fonds sont Omar Kaidi (Montréal), originaire du village Ait Aissa, commune d’Aokas, Mouloud Idris (Montréal) originaire du village Ichaâbanene, commune Tizi N Berber, Hemmou Amari (MAK Chicago) et Larbi Djemaoui, du MAK (Ottawa-Gatineau) originaires d’Ait Bouaissi, Tinebdar. « Cette année, nous avons l’intention de faire parvenir le premier lot aux bibliothèques des associations suivantes : Tidukla du village n’Ait Aissa, président Brahim Djabri et l’Association Rehmani Slimane, président Réda Sennoune, du fait qu’elles nous ont démontré une volonté de travailler pour la culture et la langue tamazight. Cependant, nous invitons les membres d’autres associations à nous contacter et à nous soumettre leurs projets et comment ils mettraient en avant la langue et la culture de nos ancêtres », disent les initiateurs de dette levée de fond, plus que jamais déterminés à relever le défi. Les objectifs de ces activités sont aussi nombreux que prometteurs. Il s’agit surtout d’encourager les associations qui activent dans le domaine culturel en général et la promotion de Tamzight en particulier. Les autres motivations de cette quête est d’encourager les lecteurs à lire en langue Tamazight et motiver les auteurs à publier dans la langue de Massinissa.
Il est à préciser que l’opération d’achat de livres en tamazight se fera directement avec les éditeurs. Les initiateurs sont optimistes. Ils comptent même atteindre d’autres objectifs. Ils estiment que « si la somme ramassée est conséquente, nous envisageons d’organiser un salon du livre de langue Tamazight au centre culturel d’Aokas et les éditeurs et les écrivains seront invités à exposer et à vendre leurs livres ».
Les responsables de cette levée de fonds sont Omar Kaidi (Montréal), originaire du village Ait Aissa, commune d’Aokas, Mouloud Idris (Montréal) originaire du village Ichaâbanene, commune Tizi N Berber, Hemmou Amari (MAK Chicago) et Larbi Djemaoui, du MAK (Ottawa-Gatineau) originaires d’Ait Bouaissi, Tinebdar. « Cette année, nous avons l’intention de faire parvenir le premier lot aux bibliothèques des associations suivantes : Tidukla du village n’Ait Aissa, président Brahim Djabri et l’Association Rehmani Slimane, président Réda Sennoune, du fait qu’elles nous ont démontré une volonté de travailler pour la culture et la langue tamazight. Cependant, nous invitons les membres d’autres associations à nous contacter et à nous soumettre leurs projets et comment ils mettraient en avant la langue et la culture de nos ancêtres », disent les initiateurs de dette levée de fond, plus que jamais déterminés à relever le défi. Les objectifs de ces activités sont aussi nombreux que prometteurs. Il s’agit surtout d’encourager les associations qui activent dans le domaine culturel en général et la promotion de Tamzight en particulier. Les autres motivations de cette quête est d’encourager les lecteurs à lire en langue Tamazight et motiver les auteurs à publier dans la langue de Massinissa.
Il est à préciser que l’opération d’achat de livres en tamazight se fera directement avec les éditeurs. Les initiateurs sont optimistes. Ils comptent même atteindre d’autres objectifs. Ils estiment que « si la somme ramassée est conséquente, nous envisageons d’organiser un salon du livre de langue Tamazight au centre culturel d’Aokas et les éditeurs et les écrivains seront invités à exposer et à vendre leurs livres ».
Syfax N’Ath Wezguen
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire