"L’ALGÉRIE OU LA VACHE DES AIGREFINS", PAR DJAFFAR BENMESBAH
27/07/2015 - 22:34
PARIS-DIASPORA SIWEL) — "Dévoué surhumain au régime d’Alger, zélé, hyperactif, diablotin rabatteur des hédonistes du sérail, El Hadi Ould Ali a, des années durant, fait de sa silhouette crasseuse une béquille épidermique servant à maintenir Bouteflika debout sur le sol Kabyle. Capet à Tizi Ouzou des transferts suspects et activités douteuses, voleur par passion, spoliateur du labeur d’autrui, fraudeur envieux, pourvoyeur des discordes et géniteur d’avortements, Ould Ali El Hadi est, à juste titre, le résumé du code pénal." Par Djaffar Benmesbah :
Ould Ali El-Hadi désigné ministre de la Jeunesse et des sports par Bouteflika (PH/DR)
L’Algérie ou la vache des aigrefins"
Des "kabyles" renégats se font l’emprunte d’une grave dégradation de l’esprit combatif de l’ancêtre, une emprunte qui vexe, qui insulte, qui injure impunément la Kabylie.Ils ont fréquenté le combat identitaire et leur promenade suggérée dans la résistance est arrivée à ses limites étrangement depuis le retour de Bouteflika. Quand un Ouyahia, traître en chef parmi ses pairs, se charge d’un quotient de provocations et de menaces à l’encontre de Ferhat Mehenni avant de procéder à l’arrestation des militants du M’zab et qu’ils se font les loques de ses soubresauts de dinde pour garder leur privilèges dans le vestibule répugnant de l’ennemi, on s’autorise à leur égard tous les volts du mépris, voire des épithètes morbides et méchantes qui leurs conviennent sans craindre d’égratigner l’éthique… Ce n’est que légitime défense.
Après Amara Benyounes, Khalida Toumi ou encore Mohand Cherif Hannachi, des lascars qui nous ont habitués par effets miraculeux des duplicités dupées à leurs désopilants efforts dans d’insolentes scènes de dévotions à l’égard des assassins d’enfants kabyles, un autre traître, farci d’impostures, se voit enfin admis aux premières niches dans la basse-cour de Bouteflika. La nomination d’El Hadi Ould Ali au poste de ministre a néanmoins le mérite d’une confirmation : l’Algérie n’est pas un État, juste un territoire où l’indignité dispute à la servilité la souveraineté. Un territoire d’insectes intersectés dans un cirque politique où l’on applaudit le charlatan avec le même acharnement que l’on manifeste afin de faire pâlir l’intègre. En profondeur, c’est un territoire à deux rives : d’une part, une avec un drapeau livré aux faux prophètes dont les fanfares conditionnent l’enivrement abusif des concurrents à une citoyenneté criminelle aux couleurs du Daesh et d’autre part, une autre dite nationaliste, aussi complexe que suspecte, soumise aux larbins en free-lance et rivaux dans le domaine de la forfaiture.
Nonobstant l’infime, la très infime minorité de militants berbéristes qui se battent encore pour un État de droit, libéré de l’arabo-islamisme, mais qui ignorent encore qu’ils ne sont qu’illusions optiques de leur propres délires, l’Algérie reste et restera l’appendice du Moyen-Orient ; l’Arabie est son opium et le Qatar est son bâton… La France y veille.
Dévoué surhumain au régime d’Alger, zélé, hyperactif, diablotin rabatteur des hédonistes du sérail, El Hadi Ould Ali a, des années durant, fait de sa silhouette crasseuse une béquille épidermique servant à maintenir Bouteflika debout sur le sol Kabyle. Capet à Tizi Ouzou des transferts suspects et activités douteuses, voleur par passion, spoliateur du labeur d’autrui, fraudeur envieux, pourvoyeur des discordes et géniteur d’avortements, Ould Ali El Hadi est, à juste titre, le résumé du code pénal.
D’instinct, la Kabylie rejetait en 1990 déjà ce chenapan né de l’adultération de la chose politique, parachuté par un parti à la tête du MCB au détriment des braves militants qui avaient donné leur jeunesse au MCB et dont beaucoup avaient payé de leur liberté leur engagement dans le combat identitaire. Bête comme une oie, bien qu’incapable de se défaire de la coterie de traîtres kabyloïdes soumis aux exigences capricieuses du ventre et au bas ventre, ce volatile se veut être l’oiseau Rokh, cette créature du folklore arabe oriental. Le MCB, devenu sa victime, lui avait servi de cheval de Troie dans sa quête rapace des logements et descomptes en banques avant de proposer à ce même MCB la plus honteuse des dépositions.
Tous ces traitres papelards ont la main croche et un cul bordé de nouilles. Ils trouvent le bonheur avec leur saleté-conscience dans une affreuse félicité. Ils agissent dans la pire espèce du reniement et des volte-face répétées avec un aplomb inouï. Ils ne rougissent jamais. Ils se montrent fiers de renforcer la tribune des fourbes à croire qu’ils s’agitent afin de faire de la félonie une pandémie à propager en Kabylie.
Ces aigrefins ne peuvent pas nous la bailler douce et nous voir céder à leur délire. Leurobjectif est de provoquer la lassitude de l’opinion dans l’esprit du militant kabyle et jouir du succès qu’ils cherchent obstinément dans sa démission. La médisance, la tricherie, la déloyauté, les calculs insipides, les menaces et l’outrecuidance des traîtres assurent paradoxalement à la Kabylie l’énergie nécessaire à sa résistance. Il faut considérer les trahisons qu’elle subit comme un élément essentiel qui renfonce ses convictions et la justesse de son combat pour sa liberté. Constamment confrontée à l’envahisseur, la Kabylie a toujours rejeté les difficultés à y faire face. En 2000 ans de guerres, la lutte anticolonialiste est devenue sa spécialité comme le couscous.
Djaffar Benmesbah
SIWEL 272234 JUIL 15
Des "kabyles" renégats se font l’emprunte d’une grave dégradation de l’esprit combatif de l’ancêtre, une emprunte qui vexe, qui insulte, qui injure impunément la Kabylie.
Après Amara Benyounes, Khalida Toumi ou encore Mohand Cherif Hannachi, des lascars qui nous ont habitués par effets miraculeux des duplicités dupées à leurs désopilants efforts dans d’insolentes scènes de dévotions à l’égard des assassins d’enfants kabyles, un autre traître, farci d’impostures, se voit enfin admis aux premières niches dans la basse-cour de Bouteflika. La nomination d’El Hadi Ould Ali au poste de ministre a néanmoins le mérite d’une confirmation : l’Algérie n’est pas un État, juste un territoire où l’indignité dispute à la servilité la souveraineté. Un territoire d’insectes intersectés dans un cirque politique où l’on applaudit le charlatan avec le même acharnement que l’on manifeste afin de faire pâlir l’intègre. En profondeur, c’est un territoire à deux rives : d’une part, une avec un drapeau livré aux faux prophètes dont les fanfares conditionnent l’enivrement abusif des concurrents à une citoyenneté criminelle aux couleurs du Daesh et d’autre part, une autre dite nationaliste, aussi complexe que suspecte, soumise aux larbins en free-lance et rivaux dans le domaine de la forfaiture.
Nonobstant l’infime, la très infime minorité de militants berbéristes qui se battent encore pour un État de droit, libéré de l’arabo-islamisme, mais qui ignorent encore qu’ils ne sont qu’illusions optiques de leur propres délires, l’Algérie reste et restera l’appendice du Moyen-Orient ; l’Arabie est son opium et le Qatar est son bâton… La France y veille.
Dévoué surhumain au régime d’Alger, zélé, hyperactif, diablotin rabatteur des hédonistes du sérail, El Hadi Ould Ali a, des années durant, fait de sa silhouette crasseuse une béquille épidermique servant à maintenir Bouteflika debout sur le sol Kabyle. Capet à Tizi Ouzou des transferts suspects et activités douteuses, voleur par passion, spoliateur du labeur d’autrui, fraudeur envieux, pourvoyeur des discordes et géniteur d’avortements, Ould Ali El Hadi est, à juste titre, le résumé du code pénal.
D’instinct, la Kabylie rejetait en 1990 déjà ce chenapan né de l’adultération de la chose politique, parachuté par un parti à la tête du MCB au détriment des braves militants qui avaient donné leur jeunesse au MCB et dont beaucoup avaient payé de leur liberté leur engagement dans le combat identitaire. Bête comme une oie, bien qu’incapable de se défaire de la coterie de traîtres kabyloïdes soumis aux exigences capricieuses du ventre et au bas ventre, ce volatile se veut être l’oiseau Rokh, cette créature du folklore arabe oriental. Le MCB, devenu sa victime, lui avait servi de cheval de Troie dans sa quête rapace des logements et des
Tous ces traitres papelards ont la main croche et un cul bordé de nouilles. Ils trouvent le bonheur avec leur saleté-conscience dans une affreuse félicité. Ils agissent dans la pire espèce du reniement et des volte-face répétées avec un aplomb inouï. Ils ne rougissent jamais. Ils se montrent fiers de renforcer la tribune des fourbes à croire qu’ils s’agitent afin de faire de la félonie une pandémie à propager en Kabylie.
Ces aigrefins ne peuvent pas nous la bailler douce et nous voir céder à leur délire. Leur
Djaffar Benmesbah
SIWEL 272234 JUIL 15
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire