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jeudi 8 décembre 2011

le clip de Lahlou TIGHREMT "Tagrawla Leqvayel"qui rend hommage aux victimes du "Printemps noir"de Kabylie et a Matoub Lounès.
Ce clip est partagé et diffusé sous l'autorisation de Mr Lahlou TIGHREMT.

Tanmirth ik a Dda LAHLOU !

mardi 6 décembre 2011


Ferḥat répond à une Khoroto

lundi 5 décembre 2011

Claude Guéant ou l’art du marchandage - Actualité - El Watan

Claude Guéant ou l’art du marchandage - Actualité - El Watan

Claude Guéant ou l’art du marchandage

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le 06.12.11 | 01h00 Réagissez


Les propos élogieux tenus, dimanche à Alger, par le ministre français de l’Intérieur, Claude Guéant, à l’égard des réformes politiques initiées par Abdelaziz Bouteflika, ont surpris les observateurs les plus avertis des deux rives de la Méditerranée. La sortie de celui qui est présenté comme l’homme de confiance du chef de l’Etat français est d’autant plus surprenante que Nicolas Sarkozy n’a pas habitué, depuis qu’il est arrivé au pouvoir, à faire des cadeaux aux autorités algériennes.
Si les affaires marchent maintenant plutôt bien entre Alger et Paris – en témoigne d’ailleurs le nombre de marchés remportés ces 12 derniers mois par les entreprises françaises en Algérie – on ne peut effectivement pas en dire autant des dossiers politiques. Il n’est pas exagéré de dire que les deux pays ne s’entendent sur pratiquement rien. Cet état de fait, perceptible à partir de l’année 2008, s’est traduit par un net refroidissement des relations bilatérales. La preuve : la visite d’Etat que devait alors effectuer le président algérien en France avait d’ailleurs été reportée sine die.
Le dernier grand sujet objet de discorde entre les deux capitales concerne la Libye.
Alors que Paris et ses alliés de l’OTAN avaient opté, dès le mois de mars, pour un changement à la dure du régime d’El Gueddafi, Alger avait prôné un règlement négocié de la crise afin d’éviter la déstabilisation du Maghreb. La suite des événements, tout le monde la connaît. Inutile d’y revenir. Ce n’est un secret pour personne, aujourd’hui, que c’est surtout sur la question migratoire (avec en toile de fond le souhait de Paris de réviser l’accord bilatéral de 1968) et sur la problématique de la lutte contre le terrorisme au Sahel que les approches des responsables des deux pays divergent visiblement. Compte tenu de tous ces désaccords, personne ne s’attendait à ce que Claude Guéant porte ainsi au pinacle le président Bouteflika et ses réformes. La remarque vaut d’autant plus qu’aucun dossier n’a, pour l’heure, été véritablement bouclé hier.
Comme en politique c’est toujours du donnant-donnant, on peut donc supposer que le bras droit de Sarkozy a obtenu quelque chose en échange de la «précieuse» caution apportée aux réformes politiques algériennes. Mais quoi ? Une aide accrue d’Alger pour faire libérer les 6 otages français détenus par AQMI au Sahel ? Difficile à dire.
Une chose est sûre, cela doit être suffisamment important pour que Nicolas Sarkozy, candidat à sa propre succession en 2012, puisse l’utiliser comme carte pour remontrer dans les sondages. Autrement, Claude Guéant n’aurait probablement pas fait le déplacement à Alger.
Zine Cherfaoui
pourquoi l'autonomie est vitale pour le peuple Kabyle ,rejoignez le mak si vous etes véridiques et juste ,si vous aimez vraiment le peuple kabyle et la kabylie

Askaf : kabyles, français et républicains

Fondateurs de l'Association des Kabyles de France, Arezki Bakir et Nafa Kirèche répondent aux questions de Rezki.net sur une communauté qui n'est pas encore organisée et visible en France.

La caution de Paris aux réformes de Bouteflika - Actualité - El Watan

La caution de Paris aux réformes de Bouteflika - Actualité - El Watan

La campagne algéroise de Guéant

La caution de Paris aux réformes de Bouteflika

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le 05.12.11 | 01h00 8 réactions

Il semblerait que les relations entre l’Algérie et la France se portent comme un charme ! A un point tel d’ailleurs que le gouvernement français, qui multiplie ses visites à Alger, ne tarit point d’éloges quant à la politique adoptée par l’Algérie.

En visite officielle hier, Claude Guéant, le ministre français de l’Intérieur, de l’Outre-mer, des Collectivités territoriales et de l’Immigration, n’a ainsi pas dérogé à la règle. «Je salue les nombreuses initiatives prises par le président Bouteflika et qui vont dans le sens des préoccupations qui se sont manifestées dans la population», a assuré l’ancien secrétaire général de l’Elysée, lors d’une conférence de presse tenue conjointement avec son homologue algérien, Daho Ould Kablia. Celui qui est considéré comme l’un des plus proches collaborateurs du président Nicolas Sarkozy va même plus loin dans les «encouragements» : «Je suis impressionné par la description que m’a faite le ministre de l’Intérieur de tous les textes qui ont été déjà adoptés ou présentés au Parlement.» M. Guéant se dit donc satisfait de ces réformes entreprises par le gouvernement algérien et qui donneront «un supplément de démocratie» au pays.
Oui, cela ne s’invente pas. Le ministre français parlait bien des réformes politiques et des différents projets de loi, qui sont sujets de diverses polémiques depuis que les textes ont été rendus publics. Ces mêmes textes que n’ont de cesse de vilipender la société civile, l’opposition, les députés, et ce, jusque dans les rangs de l’Alliance présidentielle. Ce qui est justement reproché à ces réformes est qu’elles visent un plus grand contrôle de l’administration sur différents secteurs ou encore l’entrave à l’exercice de certaines professions ou activités. Tout le contraire d’un supplément de démocratie. L’on ne saurait soupçonner les Français d’ignorer les «réalités» d’un pays qu’ils ne connaissent que trop bien. Alors, démagogie dépassant le cadre de la sobriété et du doigté de la diplomatie, ou plus trivialement «préservation d’intérêts» ? Et les intérêts sont nombreux.

Cette visite de l’ancien directeur de campagne du président Sarkozy intervient à quelques mois de l’élection présidentielle de 2012, pour laquelle la classe politique française se met en rang de bataille. De même, ces entrevues font suite et précèdent tout un ballet de nombreuses personnalités et membres du gouvernement de Sarkozy. Dans quelques jours d’ailleurs, l’Algérie sera l’hôte d’une délégation économique composée d’hommes d’affaires, dont de nombreux membres du Medef. Le volet économique n’a toutefois pas été évoqué ; Jean-Pierre Raffarin s’en chargera à sa prochaine visite.

Des actions avant des traités…

Reste qu’en dehors des lieux communs et des généralités qui n’ont de cessé d’être serinés, pas grand-chose n’aura filtré de la teneur des discussions, si ce n’est «faire le point» sur des questions «essentielles». La sécurité, la circulation des personnes, l’installation et le séjour des personnes, la révision de l’Accord d’association de 1968 ou encore la situation régionale. Des dossiers qui, de par la brièveté de cette visite-éclair de moins d’une journée, feront l’objet d’un travail «plus approfondi», dont leurs «collaborateurs» auront la charge. Et même si, au cours de cette conférence de presse, les deux «alter ego» n’ont pas évoqué explicitement la question, le dossier de la sécurité dans le Sahel, où de nombreux Français restent otages d’AQMI, est l’un des axes majeurs de la «coopération» algéro-française. Ainsi, l’on peut donc se douter que le point nodal de cette visite n’a pas été abordé par les deux hommes. Toutefois, comme l’a précisé Claude Guéant, «ce ne sont pas les traités qui confirment les amitiés, mais ce sont bien les actions qui les concrétisent».
Ghania Lassal

dimanche 4 décembre 2011

Journée culturelle de l'association Franco-Kabyle d'Ivry-sur-Seine le 10 décembre

Journée culturelle de l'association Franco-Kabyle d'Ivry-sur-Seine le 10 décembre

Journée culturelle de l'association Franco-Kabyle d'Ivry-sur-Seine le 10 décembre

04/12/2011 - 13:58


PARIS (SIWEL) — L’association Franco-Kabyle d'Ivry-sur-Seine présentera une journée culturelle le samedi 10 décembre 2011.



Journée culturelle de l'Association Franco-Kabyle d'Ivry-sur-Seine
Journée culturelle de l'Association Franco-Kabyle d'Ivry-sur-Seine
La manifestation devrait débuter à partir de 11h à la Maison de la Citoyenneté d'Ivry.


Un atelier de poterie kabyle sera ouvert et une exposition d’objets berbères se tiendra aussi.


Le photographe Ahmed Kahil exposera ses photographies au cours de cette journée.
Les artistes Lakhdar Medghacen et Zahir Amyas donneront un concert.


Adresse : Maison de la CItoyenneté d'Ivry-sur-Seine
25, rue Jean Jacques Rousseau à Ivry
RER C : Gare d'Ivry- Bus : 125, 325, 323, 180. Station Jean Jacques Rousseau.


Contact et réservation : 06 98 07 03 20


cc
SIWEL 041400 DEC 11

samedi 3 décembre 2011

Les contentieux algéro-français sur la table - Actualité - El Watan

Les contentieux algéro-français sur la table - Actualité - El Watan

Claude Guéant aujourd’hui à Alger

Les contentieux algéro-français sur la table

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le 04.12.11 | 01h00 Réagissez

La relance des négociations sur la révision voulue par Paris de l’accord de 1968 relatif à la circulation, à l’emploi et au séjour des ressortissants algériens et de leurs familles devrait être à l’ordre du jour de la visite du ministre français de l’Intérieur à Alger.

Claude Guéant, qui s’est déplacé à deux reprises en Algérie en 2010 en tant que secrétaire général de la présidence française, répond à une invitation de son homologue algérien, Daho Ould Kablia. Un nouveau round de discussions autour de la révision de l’accord 1968 a été reporté à janvier 2012, alors qu’il était prévu pour ce mois de décembre. «En France, les questions de circulation de personnes relèvent des ministères de l’Intérieur et des Affaires étrangères. Le ministère de l’Intérieur a absorbé l’ancien ministère de l’Immigration. En Algérie, les aspects liés à la circulation des personnes sont de la compétence du ministère des Affaires étrangères. M. Ould Kablia n’est pas forcément l’interlocuteur institutionnel pour M. Guéant. Mais ces questions seront abordées d’une façon ou d’une autre, peut-être pas en entrant dans le détail», nous a précisé, hier, Xavier Driencourt, ambassadeur de France à Alger.
Claude Guéant, dans un entretien accordé hier au journal électronique «tout sur l’Algérie » (tsa-algerie.com), a indiqué que la France veut réduire les flux migratoires d’au moins 10% dans un premier temps, «pour conserver la capacité d’intégrer convenablement et dignement les étrangers qu’elle accueille sur son sol».
A Paris, on s’inquiète du nombre de plus en plus important d’Algériens bénéficiant de visas touristiques qui ne retournent pas au pays à la fin de leur séjour. L’idée d’introduire de nouvelles restrictions n’est pas à écarter. «Nous ne ciblons aucune nationalité en particulier. Nous menons avec détermination une politique de lutte contre l’immigration clandestine, quel que soit le pays d’origine. Ceux qui entrent irrégulièrement en France vivent dans l’illusion d’un avenir meilleur qui, en réalité, n’existe pas», a précisé Claude Guéant à TSA.
L’ambassadeur de France a confirmé que la question de la lutte contre le terrorisme, notamment dans la zone sahélo-saharienne, sera abordée par le ministre français de l’Intérieur. Il a rappelé que les ministres de l’Intérieur se rencontrent à la faveur des réunions du cadre informel des 5 + 5 (pays du Maghreb + pays d’Europe du Sud) consacrées aux questions sécuritaires. MM. Guéant et Ould Kablia se sont rencontrés à Paris en mai 2011, à la faveur d’une réunion ouverte du G8 sur les actions internationales contre le trafic de drogue. Paris souhaite qu’Alger joigne l’acte à la parole dans les entreprises menées avec les pays du Sahel (Niger, Mali et Mauritanie) pour pourchasser et neutraliser l’action des groupes armés présents dans la région à travers le mécanisme du Comité d’état-major opérationnel conjoint (Cemoc) basé à Tamanrasset. La France se dit prête à apporter son aide dans le cas où des demandes sont exprimées. «Nous connaissons en effet le rôle important que joue l’Algérie pour contenir, et j’espère un jour démanteler, des groupes terroristes qui doivent cesser de nuire (…). Il est fondamental que nous continuions à coopérer étroitement dans la lutte contre le terrorisme», a déclaré Claude Guéant dans la même interview.
Les autorités françaises estiment que le Cemoc, qui se réunit tous les six mois, puisse mener des actions concrètes sur le terrain, surtout que la zone Sahel fait face à un retour inquiétant de kidnapping de ressortissants non africains. D’où la venue à Alger, avec M. Guéant, de responsables de la Direction centrale du renseignement intérieur (DCRI), une sorte de FBI français dirigé actuellement par Bernard Squarcini. La coopération entre la police, la gendarmerie et la Protection civile des deux pays sera également à l’ordre du jour de la visite de M. Guéant. Il en sera de même des échanges entre les collectivités territoriales. «Certains accords arrivent à échéance en 2012. On va voir si on peut les renouveler. Mais, lors de cette visite, il n’y aura pas de signature d’accords», a précisé Xavier Driencourt.

Dialogue relancé

L’ambassadeur s’est félicité de l’augmentation des visites de hauts responsables français en Algérie, après le long passage à vide entre 2008 et 2010. Il a cité la venue à Alger du ministre des Affaires étrangères, Alain Juppé, du ministre de la Culture, Frédéric Mitterrand, de la secrétaire d’Etat à la Jeunesse, Jeannette Bougrab, des responsables du Conseil supérieur de la magistrature, du secrétaire général du ministère des Affaires étrangères, Pierre Sellal… «Pierre Sellal est venu pour faire suite à la visite d’Alain Juppé en juin 2011. Nous avons convenu de continuer ces consultations à un niveau politique et à un niveau inférieur. Dans le système politico-administratif français, le secrétaire général mène beaucoup de consultations bilatérales avec ses grands homologues, comme ceux de l’Inde, de Chine, de l’Allemagne, de la Grande-Bretagne, du Maroc… Curieusement, nous n’avions pas de consultations régulières avec le secrétaire général algérien. Il fallait réparer cet oubli», a expliqué l’ambassadeur de France. Selon lui, il s’agit de l’amorce d’un nouveau dialogue.
Pierre Sellal, qui a été reçu jeudi dernier par Mourad Medelci, ministre des Affaires étrangères, a passé en revue toutes les questions bilatérales ; ils ont évoqué la coopération dans les domaines nucléaire, scientifique, technique, culturel… «Nous avons abordé aussi les questions relatives à la défense, aux archives, aux visas. Nous avons aussi parlé des questions régionales, Maroc, Libye, Syrie (…). Nous allons continuer à connaître un défilé de ministres français l’année prochaine. Nous relations vont en s’améliorant. Il serait de mauvaise foi de soutenir le contraire», a soutenu le diplomate.
M. Driencourt a évoqué la visite à Paris de M. Medelci mercredi prochain (7 décembre), où il sera «auditionné» par la commission des affaires étrangères de l’Assemblée nationale française (Parlement). Il a annoncé la venue d’une délégation du Mouvement des entreprises de France (Medef), qui devrait séjourner à Alger du 11 au 13 décembre 2011 et sera conduite par Jean-Marie Dauger, président du conseil de chefs d’entreprise France-Algérie et directeur général adjoint de GDF Suez.
Interrogé sur la visite du président Bouteflika, qui devait se déplacer en France en 2009 et qui avait été reportée, l’ambassadeur français a indiqué que le chef d’Etat algérien est le bienvenu à la date qu’il voudra : «Nous sommes toujours ouverts à une visite. La période 2012 est un peu délicate. Donc je ne sais pas quand cette visite aura lieu, mais M. Bouteflika est le bienvenu en France. En tout cas, on n’en a pas parlé récemment, ça peut se discuter directement entre les chefs d’Etat eux-mêmes.»
Fayçal Métaoui