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lundi 5 mars 2012
vendredi 24 février 2012
L'Andalousie Amazighe : une histoire méconnue
L'Andalousie Amazighe : une histoire méconnue
La république Amazighe de Grenade, qui a pu survire 200 ans après l’effondrement de l’Andalousie Musulmane qui a succombée aux conquêtes chrétiennes commencé depuis 1236. Toute la péninsule est devenue chrétienne sauf Grenade : la république musulmane Amazighe. Le seul refuge de tus les musulmans et juifs qui fuient le pouvoir chrétien qui a pris Cordoue, Séville et autres. Visite d’une histoire méconnue avec un documentaire de la chaine de télévision franco-allemande ARTE :
Auteur: Mohamed El Ouazguiti
Date : 2012-02-23 00:13:00
L'Andalousie Amazighe : une histoire méconnue

Auteur: Mohamed El Ouazguiti
Date : 2012-02-23 00:13:00
mardi 21 février 2012
Une «constituante» avant 2012 : Bouteflika souhaite revenir à la Constitution de Zeroual | DNA - Dernières nouvelles d'Algérie
l | DNA - Dernières nouvelles d'Algérie
Une révision constitutionnelle en 2008 pour obtenir un troisième mandat, une autre en 2012 pour revenir à la constitution de 1996 de Liamine Zeroual. L’assemblée nationale qui sera élue au terme de l’élection législative du 10 mai prochain devra adopter une nouvelle constitution qui sera promulguée avant la fin de l’année 2012. Cette nouvelle loi fondamentale fera suite à celle amendée en novembre 2008 par le président Bouteflika pour lui permettre de briguer un troisième mandat en avril 2009.
Lire l'article original : Une «constituante» avant 2012 : Bouteflika souhaite revenir à la Constitution de Zeroual | DNA - Dernières nouvelles d'Algérie
Une «constituante» avant 2012 : Bouteflika souhaite revenir à la Constitution de Zeroual

Dans une interview accordée mardi 21 février à l’agence Reuters, le ministre de l’Intérieur, Dahou Ould Kablia, a indiqué que la première mission du nouveau parlement sera de rédiger une nouvelle constitution.
« Cette élection est importante parce que ses (le nouveau parlement, NDLR ) membres qui seront élus auront pour mission d'élaborer la nouvelle constitution. Ce sera une sorte d'assemblée constituante », a déclaré M. Ould Kablia.
Le ministre a ajouté que les parlementaires auront à adopter des amendements susceptibles de réduire les pouvoirs du chef de l’Etat, sans pour autant fournir de plus amples précisions sur la nature de ces pouvoirs en passe d’être amendés.
Troisième révision constitutionnelle depuis 2002
Le chef de l’Etat algérien a annoncé jeudi 9 février, lors d'un discours radiotélévisé, que la nouvelle assemblée aura pour tâche de préparer une constitution dans le cadre de ses réformes politiques engagées depuis avril 2011.
C’est la troisième fois depuis son arrivée au pouvoir en avril 1999 que le président Bouteflika amende la loi fondamentale adoptée par référendum en novembre 2006 sous la présidence de Liamine Zeroual.
En avril 2002, moins d’une année après la sanglante révolte en Kabylie qui a fait 126 morts, le chef de l’Etat algérien a été contraint de céder à l’une des revendications de la population de cette région d'Algérie qui réclamait, notamment, l’officialisation de tamazight, la langue berbère.
C’est la troisième fois depuis son arrivée au pouvoir en avril 1999 que le président Bouteflika amende la loi fondamentale adoptée par référendum en novembre 2006 sous la présidence de Liamine Zeroual.
En avril 2002, moins d’une année après la sanglante révolte en Kabylie qui a fait 126 morts, le chef de l’Etat algérien a été contraint de céder à l’une des revendications de la population de cette région d'Algérie qui réclamait, notamment, l’officialisation de tamazight, la langue berbère.
Tamazight entre dans la Constitution
Le 12 avril de cette année donc, la loi fondamentale avait été ainsi amendée par les deux chambres du Parlement (Assemblée et Sénat) pour y introduire un article de loi consacrant tamazight comme langue nationale, le chef de l'Etat ayant refusé d'inscrire dans le marbre constitutionnel la revendication visant à officialiser le berbère au même titre que la langue arabe.
Plus de quatre ans plus tard, alors que son deuxième mandat arrivait à son terme en avril 2009, Abdelaziz Bouteflika a fait le forcing auprès des militaires pour réviser la constitution de 1996 laquelle limitait l’exercice présidentiel à deux mandats non-renouvelables.
Le 12 avril de cette année donc, la loi fondamentale avait été ainsi amendée par les deux chambres du Parlement (Assemblée et Sénat) pour y introduire un article de loi consacrant tamazight comme langue nationale, le chef de l'Etat ayant refusé d'inscrire dans le marbre constitutionnel la revendication visant à officialiser le berbère au même titre que la langue arabe.
Plus de quatre ans plus tard, alors que son deuxième mandat arrivait à son terme en avril 2009, Abdelaziz Bouteflika a fait le forcing auprès des militaires pour réviser la constitution de 1996 laquelle limitait l’exercice présidentiel à deux mandats non-renouvelables.
Mandats illimités
C’est ainsi que le 12 novembre 2008, 500 parlementaires ont voté en faveur du texte alors que vingt-et-un ont voté contre et huit s’étaient abstenus.
Outre que ce nouveau dispositif constitutionnel autorisait une « présidence à vie », il renforçait davantage les pouvoirs du chef de l’Etat en transformant la fonction de chef de gouvernement en celle de «Premier ministre».
Celui-ci a désormais pour mission de coordonner l’action du gouvernement et d’appliquer le programme du président.
Celui-ci a désormais pour mission de coordonner l’action du gouvernement et d’appliquer le programme du président.
Cette révision avait par ailleurs instauré les fonctions de vice-Premiers ministres désignés par le chef de l’Etat, poste actuellement occupé par l’ancien ministre de l’Intérieur,Yazid Zerhouni.
Retour à la case de départ
Si cette «constituante » devrait être menée à son terme, elle permettrait dès lors au président Bouteflika, 75 ans au mois de mars prochain, de s’en tirer à très bons comptes.
Ainsi, il aurait amendé la Constitution en 2008 pour s’offrir un troisième mandat et révisé la même loi fondamentale en 2012 pour limiter les mandats du président et raboter ses pouvoirs.
Retour à la case de départ
Si cette «constituante » devrait être menée à son terme, elle permettrait dès lors au président Bouteflika, 75 ans au mois de mars prochain, de s’en tirer à très bons comptes.
Ainsi, il aurait amendé la Constitution en 2008 pour s’offrir un troisième mandat et révisé la même loi fondamentale en 2012 pour limiter les mandats du président et raboter ses pouvoirs.
Les présidences à vie étant passées de mode depuis la révolution arabe, Bouteflika pourrait alors arguer qu’il prendrait sa retraite la «tête haute» en laissant un grand legs aux générations futures.
Lire également :
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Une fillette kidnappée a été retrouvée morte et sans ses reins à Oran !
Mardi, 21 Février 2012 14:14Envoyé spécial : abdou

UNE FILLETTE KIDNAPPÉE A ÉTÉ RETROUVÉE MORTE ET SANS SES REINS À ORAN !

Un terrible drame vient de secouer la ville d’Oran. Une fillette de 08 ans qui a été, dernièrement, kidnappée par des malfaiteurs, a été retrouvée morte et le corps sans reins ! Cette horrible tragédie a eu lieu au niveau du quartier de l’USTO à Oran.
Selon un compte-rendu publié par le quotidien régional Réflexion, cette fillette a été enlevée «au niveau de la cité où elle habitait, au début de l’après-midi, profitant ainsi de l’absence totale de la circulation piétonnière et des voisins de cette cité, qui étaient tous occupés dans leurs maisons ou dans leurs postes de travail». Selon cette source, «cette malheureuse fillette a été tuée, et cela dans l’unique but de lui voler ses reins» !
Plusieurs jours après son enlèvement, alors que les recherches n’ont mené à rien, le corps de la petite fille a été retrouvée au niveau de la cité d’ d’où elle fut kidnappée.
«Une fois sur la scène de la découverte, le médecin a directement affirmé la thèse du meurtre, mais plus grave encore, il précisera que cette fillette se retrouve sans les deux reins», explique le quotidien Réflexion, basé à Mostaganem, qui précise qu’une enquête approfondie «a été ouverte par les services de sécurité pour retrouver les auteurs de cet acte criminel». Des criminels qui pourraient bel et bien appartenir à un réseau de trafic d’organes humains lequel sème la panique dans toute l’Oranie.
La Rédaction de NessNews
jeudi 16 février 2012
Une équipe de l'ENTV chassée et des cartes d’électeur brûlées en Kabylie - Divers - Tout sur l'Algérie - page 1
Une équipe de l'ENTV chassée et des cartes d’électeur brûlées en Kabylie - Divers - Tout sur l'Algérie - page 1
Imene Brahimi
Les villageois s’estiment abandonnés par les autorités
Une équipe de l'ENTV chassée et des cartes d’électeur brûlées en Kabylie
Comme cela était prévisible depuis le début de la tempête de neige qui s'est abattue sur tout le nord du pays, et durant laquelle les pouvoirs publics ont superbement brillé par leur absence, des villages de Haute‑Kabylie viennent d'adresser une réponse cinglante au pouvoir qui a donné, disent de nombreux villageois, « beaucoup plus d'intérêt aux élections législatives qu'il compte organiser le 10 mai prochain qu'à la détresse des populations de Haute‑Kabylie ».
En effet, de nombreux villageois de la région d'Iferhounène et d'autres villages, situés dans les régions les plus affectées par la tempête qui a provoqué un véritable drame humain, se sont rassemblés sur la place publique, mercredi 15 et jeudi 16 février, pour brûler, publiquement et collectivement, leurs cartes d'électeur. « Brûler nos cartes de vote est un message politique en direction de nos gouvernants qui nous ont abandonnés durant la tempête de neige », nous dira un des jeunes citoyens qui ont choisi cette forme symbolique de protestation mais toutefois lourde de sens.
« Au moment où les citoyens des villages de Haute‑Kabylie luttaient seuls pour leur survie sous la tempête, les pouvoirs publics locaux nous ont abandonnés, un Conseil des ministres s'est tenu sans souffler mot de notre situation qui touchait pourtant de nombreuses régions du pays, puis, la meilleure de toutes, on nous envoie des SMS pour nous demander de voter et, cerise sur le gâteau, le président de la République ne s'est pas contenté d'occulter la détresse du peuple dont il a d'ailleurs de tout temps ignoré l'existence, mais il a même poussé le bouchon plus loin, en convoquant le corps électoral en pleine catastrophe », nous dira Nassim, un autre jeune d'Iferhounène, pour justifier son acte.
Des centaines de personnes ont brûlé leur carte d’électeur. L'unes d'elles, un quinquagénaire, explique : « nous ne sommes ni du bétail ni les sujets d'un roi, mais des citoyens suffisamment conscients pour sanctionner, comme on peut, un pouvoir qui n'a de préoccupation que sa survie ».
Dans la commune d’Aït Boumahdi, dans la daïra des Ouacifs, à une cinquantaine de kilomètres au sud‑est de la ville de Tizi Ouzou, des citoyens ont, selon des sources locales, chassé une équipe de l'ENTV venue filmer des scènes de distribution de maigres aides alimentaires acheminées par la direction de l'action sociale de la wilaya de Tizi Ouzou.
vendredi 10 février 2012
Le MAK organise une quête au profit des localités sinistrées de Kabylie | Tamurt.info - Votre lien avec la Kabylie
Le MAK organise une quête au profit des localités sinistrées de Kabylie | Tamurt.info - Votre lien avec la Kabylie
Le MAK organise une quête au profit des localités sinistrées de Kabylie
De Tizi-Wezzu, par Saïd Tissegouine
Sur initiative et sous contrôle de son président, M. Bouaziz Aït-Chebib, le Mouvement pour l’Autonomie de la Kabylie (MAK) a lancé dès aujourd’hui une opération d’aide financière au profit des localités sinistrées de Kabylie.
10/02/2012 - 16:37 mis a jour le 10/02/2012 - 16:55 par Saïd Tissegouine
Sur initiative et sous contrôle de son président, M. Bouaziz Aït-Chebib, le Mouvement pour l’Autonomie de la Kabylie (MAK) a lancé dès aujourd’hui une opération d’aide financière au profit des localités sinistrées de Kabylie.
Au niveau de la wilaya de Tizi-Ouzou, la localité qui semble la plus touchée par les intempéries est Iferhounène située à 70 km à l’est du chef-lieu de wilaya et culminant à 1450 mètres d’altitude. C’est une délégation de la région qui, ce matin, a rencontré le président du MAK pour lancer un S.O.S.
Selon le rapport enregistré par M. Bouaziz Aït-Chebib de la part du porte-parole de cette délégation, les habitants d’Iferhounène vivent à présent dans une psychose suite à l’annonce de nouvelles de chutes de neige à partir de ce soir (10 février 2012) à partir d’une altitude de 800 mètres. Les cris de détresse des habitants d’Iferhounène portent également sur l’absence totale de gaz butane, le manque de nourriture et, surtout, l’impossibilité totale pour les véhicules de circuler. En clair, même les secours ne peuvent être d’aucune utilité en pareille circonstance. En ce qui les concerne, les militants et patriotes du MAK, une fois informés par leur président du cas des sinistrés n’ont pas manqué de mettre la main à la poche. Au moment où nous rédigeons ces lignes, la quête d’argent se poursuit dans les rangs du MAK. Il va sans dire que cet argent ira au profit des familles déshéritées. Et Dieu seul sait qu’elles sont très nombreuses en Kabylie.
Le pire dans cette situation, c’est que les pouvoirs publics donnent de fausses informations sur le calvaire que vivent quotidiennement les Kabyles. C’est le cas du wali de Tizi-Ouzou. Ce commis de l’Etat est digne de l’école de Gobels en matière de propagande. Toute honte bue, il a chargé certains présidents d’APC de déclarer sur les ondes de radios et autres médias lourds que la situation est maîtrisée sur tout le territoire de la wilaya de Tizi-Ouzou. Or, il suffit d’être un tant soit peu à l’écoute de la population pour obtenir des informations tout à fait contradictoires. De nombreux témoins ont souligné à l’unanimité qu’une bouteille de gaz butane a été vendue à quatre mille (4.000) DA. Cependant, ce combustible se vend en général à 1.500 – 2.000 DA la bouteille au marché noir. Du coup, cela contredit formellement les déclarations des responsables de SONELGAZ dont les équipes et eux-mêmes font de grands efforts pour répondre aux besoins des populations.
Par ailleurs, une nouvelle faisant état d’importants dons des citoyens de la wilaya de Tlemcen au profit des Kabyles a circulé comme une traînée de poudre dans la ville des Genêts. D’après cette rumeur, denrées alimentaires, couvertures de luxe et finances en provenance de Tlemcen sont arrivés à Tizi-Ouzou pour être distribuées aux familles démunies. Les Kabyles ne doutent aucunement de la générosité légendaire des braves Tlémcéniens. Toutefois, aucun citoyen kabyle n’a vu à présent la couleur de ce don. Aussi, si les Tlémcéniens ont donné quelque chose, on se trouve alors en droit de se poser les questions que voici :
Quelle est la nature exacte des articles ayant fait l’objet de donation ?
Quelle est la quantité exacte du don ?
A qui a été remis ce don et quand exactement ?
Qui a acheminé ce don ?
Les responsables algériens sont connus pour leur faiblesse au vol. Il n’est pas du tout impossible que certains responsables scélérats puissent être tentés par des détournements. Cela est déjà arrivé dans le passé. En 1980, soit lors du séisme de Chlef, les Américains ont fait un don important en couvertures climatisées et en denrées alimentaires aux malheureux sinistrés. Eh bien, pas la moindre couverture climatisée n’a profité à quelque sinistré. De très hauts personnages ont réussi à mettre la main dessus et se les ont accaparées. En 2003, lors des crues de Bab El Oued, le même scénario se répéta. Les dons offerts par la France et autres âmes charitables nationales se sont retrouvés sur le marché à des prix exorbitants. Un Français donateur a tenté de vérifier si les dons en question ont profités aux sinistrés, un pseudo représentant des travailleurs (UGTA ndlr) lui a vivement suggéré de ne pas trop se casser la tête sur la destination finale des dons en question. En contre partie de sa « docilité », le Français pouvait avoir un logement dans le grand Alger et pourquoi pas aussi quelques femmes pour assouvir sa libido. N’ayant pas cru ses oreilles en entendant cela de la part d’un haut responsable, le Français quitta aussitôt le bureau de son hôte. Arrivé au seuil de la porte, il se retourna doucement et dit au voleur et corrupteur algérien de bas étage : « C’est vraiment décevant de votre part ! ». Une situation burlesque ? Oui dans la mesure où le responsable de l’UGTA ne savait pas que l’homme à qui il proposa un logement à Alger et des fesses faisait partie des hommes les plus riches de France. Ces deux cas ne sont que de petits exemples sur les niaiseries de certains hauts responsables algériens.
Il est normal donc que les généreux tlémcéniens cherchent à connaître la destination finale de leurs dons et les Kabyles concernés à chercher après leurs biens. Par ailleurs, si le geste des Tlémcéniens va droit au coeur, il n’en demeure pas cependant que la Kabylie sinistrée ouvre de plein droit à l’intervention de l’Etat. Et jusqu’à preuve du contraire, celui-ci brille par absence.
En cette situation de détresse, le président de la république, M. Abdelaziz Bouteflika, parle, toute honte bue, des élections. Et pour honorer ce rendez-vous de « la foire », M. Bouteflika est secondé dans sa mission par son analphabète de ministre de l’intérieur et des collectivités locales, M. Daho Ould Kablia en l’occurrence. Si c’était le prédécesseur de l’actuel symbole de l’inertie (Daho Ould Kablia), à savoir Mr Yazid Zerhouni, il aurait fait un geste pour les Kabyles ne serait-ce que l’envoi d’un message de sympathie même si au fond de son coeur, il leur a peut-être toujours voué une haine viscérale. En tout cas, personne n’a la preuve que Yazid Zerhouni ne « piffe pas du Kabyle ». Mais en revanche, on sait parfaitement que c’est homme d’une grande compétence. Après tout, il a exercé durant des années les fonctions de colonel au sein de l’ex-Sécurité Militaire.
Seulement voilà : le régime raciste d’Alger préfère avoir des ministres incompétents et inconscients pour continuer à pratiquer indéfiniment sa politique d’anéantissement de la Kabylie. Après avoir échoué avec la pratique de la corruption pour arriver à l’ethnocide du peuple kabyle, voilà que le régime choisit une autre formule : celle des assassinats et de la terre brûlée en sus de l’embargo économique. En dépit de tout cela cependant, la Kabylie reste debout. Bien au contraire ! Cette partie géographique de l’Afrique du Nord, considérée depuis 1838 comme l’endocarpe de l’Algérie, ne fait que tirer une autre leçon de ces intempéries pour rappeler, encore une fois, à ses enfants que seule l’autodétermination constitue la seule voie possible. Et dans cette perspective, la Kabylie « pissera », encore une fois, sur les législatives que M. Bouteflika et ses compagnons ont programmées pour leurs liges le 12 mai prochain.
Addenda : Les habitants du village de Tizi El Djemaâ, commune de Aïn El Hammam ont eu une joie, hier à 17h30, mais de courte durée. En effet, en voyant les militaires arriver dans leur village avec de lourds camions de transport, les innocents villageois ont cru voir en « ces beaux et forts militaires » leurs secouristes. Toutefois, les sinistrés n’ont pas tardé à déchanter car les militaires en question étaient venus dans ce village pour évacuer leurs camarades qui y campaient, vers des lieux plus cléments. Et juste après le départ des militaires, les lieux étaient devenus plus sinistrés encore. Voilà l’Algérie de certains hommes et femmes criant à celles et ceux voulant les entendre qu’ils sont les dignes continuateurs de la lettre et l’esprit de Novembre.
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vendredi 6 janvier 2012
Le MAK appelle à une marche populaire le 12 janvier
Le MAK appelle à une marche populaire le 12 janvier

Le MAK appelle à une marche populaire le 12 janvier
06/01/2012 - 13:40
TIZI-OUZOU (SIWEL) — Le Mouvement pour l'autonomie de la Kabylie a appelé les citoyens à une marche populaire le 12 janvier prochain coïncidant avec le nouvel an amazigh.

Marche du MAK le 13/09/2011 à Michelet contre l'insécurité et pour soutenir les Amazighs de Libye (PH/ A.Djoudi)
Devenue une tradition chez le mouvement autonomiste, le MAK compte réitérer à travers cette nouvelle manifestation sa revendication d'organiser un référendum d'autodétermination pour une « large autonomie de la Kabylie » et exprimer son soutien aux Amazighs de la Libye en conflit notamment avec la direction du CNT.
La marche démarrera à 11H de l'université Mouloud Mammmeri de Tizi-Ouzou vers l'ancienne mérie.
Le 25 décembre dernier, le MAK avait appelé à un « Front amazigh » en Afrique du Nord pour, avait-il dit, « arracher [nos] droits légitimes à une existence libre et digne dans nos pays ».
Il avait ajouté que « le soutien aux frères Amazighs est et restera une constante dans toutes les manifestations du MAK ».
uz
SIWEL 61500 JAN 11
La marche démarrera à 11H de l'université Mouloud Mammmeri de Tizi-Ouzou vers l'ancienne mérie.
Le 25 décembre dernier, le MAK avait appelé à un « Front amazigh » en Afrique du Nord pour, avait-il dit, « arracher [nos] droits légitimes à une existence libre et digne dans nos pays ».
Il avait ajouté que « le soutien aux frères Amazighs est et restera une constante dans toutes les manifestations du MAK ».
uz
SIWEL 61500 JAN 11
mercredi 28 décembre 2011
Bouira : dix ans de prison pour un terroriste - Actualité - El Watan
Bouira : dix ans de prison pour un terroriste - Actualité - El Watan
Bouira : dix ans de prison pour un terroriste
le 27.12.11 | 15h34 1 réaction
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Une peine de 10 ans de réclusion a été prononcée, ce mardi 27 décembre 2011, par la chambre criminelle prés la cour de Bouira, à l’encontre d’un homme reconnu coupable d’appartenance à un groupe terroriste armé.
Selon l’arrêt de renvoi de la chambre d’accusation, le mis en cause, K.D., accusé de plusieurs chefs d’inculpation dont appartenance à un groupe armé, homicide volontaire, utilisation d’explosifs a rejoint les maquis de Lakhdaria le 28 mai 2010, où il avait passé une période de six mois.
Il a été arrêté au cours d’une opération de ratissage menée par les services de sécurité dans la région. Notons que le procureur de la république a requis une peine de 20 ans d’emprisonnement.
lundi 26 décembre 2011
Nigeria: échoppes de chrétiens brûlées, messe dans une église visée dimanche - A la une - El Watan
Nigeria: échoppes de chrétiens brûlées, messe dans une église visée dimanche - A la une - El Watan

Nigeria: échoppes de chrétiens brûlées, messe dans une église visée dimanche
le 25.12.11 | 12h13

Des magasins tenus par des chrétiens ont été incendiés lundi dans le nord-est...
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Des magasins tenus par des chrétiens ont été incendiés lundi dans le nord-est du Nigeria, tandis qu'une messe a été célébrée dans une église attaquée la veille lors d'une série d'attentats meurtriers le jour de Noël attribués au groupe islamiste Boko Haram.
Une trentaine de commerces gérés par des chrétiens ont été brûlés à Potiskum (nord-est) dimanche soir, selon la police et des témoins, faisant craindre une nouvelle vague de violences sectaires au Nigeria. Un supermarché a aussi été incendié de même que le domicile d'un dirigeant chrétien local, selon un habitant.
A Madalla, près de la capitale Abuja, des centaines de chrétiens ont assisté lundi à une messe célébrée dans une église visée la veille par un attentat qui a fait 35 morts, l'assaut le plus meurtrier parmi la vague d'attentats qui a secoué le Nigeria le jour de Noël.
Des tâches de sang maculaient le mur extérieur de l'église Ste Theresa et des secouristes ramassaient encore lundi des restes humains jonchant le sol devant l'édifice. L'explosion a retenti alors que les fidèles sortaient de l'édifice. Certains ont brûlé dans leurs voitures et d'autres, blessés, se sont précipités vers un prêtre pour demander l'extrême onction.
L'archevêque Martin Uzoukwu, en célébrant la messe en souvenir des victimes, a appelé les fidèles à ne pas avoir recours à la violence. "Ce dont nous avons besoin, c'est de vos prières", a-t-il dit.
A Damaturu (nord-est), par centaines, des habitants étaient rassemblés lundi matin devant des stations de taxis et arrêts de bus pour fuir la ville en proie à un nouveau cycle de violences et théâtre d'un attentat suicide dimanche.
Damaturu a aussi été secouée jeudi et vendredi par des combats entre des adeptes de Boko Haram et les forces de l'ordre qui ont fait près de cent morts.
La "situation est terrifiante"
"C'est calme aujourd'hui mais rien ne garantit qu'il en ira ainsi dans les prochaines heures", lance un homme devant un arrêt de bus. "Des gens ont été tués et je pourrais être la prochaine victime".
Damaturu semblait calme lundi mais "la situation est terrifiante. Personne ne peut dire ce que sera la prochaine cible. Ma maison a été incendiée dans les attaques", déclare un commerçant de 42 ans accompagné de sa femme et de leurs trois enfants, attendant de pouvoir monter dans un véhicule pour quitter la ville.
Les attentats contre des églises chrétiennes et d'autres cibles qui ont fait une quarantaine de morts le jour de Noël ont été revendiqués par un porte-parole de la secte radicale islamiste Boko Haram, qui veut instaurer un Etat islamique au Nigeria.
Le pape Benoît XVI a fait part lundi de sa "profonde tristesse" et le secrétaire général de l'ONU Ban Ki-moon a appelé à la fin des violences au Nigeria, pays le plus peuplé d'Afrique avec 160 millions d'habitants également répartis entre musulmans, majoritaires dans le nord, et chrétiens, plus nombreux dans le sud.
La chef de la diplomatie de l'UE, Catherine Ashton s'est dite "profondément choquée" et a apporté son soutien aux autorités nigérianes dans "leur combat contre le terrorisme".
Des observateurs redoutent que la secte Boko Haram, qui se réclame des talibans afghans et dont les actions sont de plus en plus sophistiquées, n'ait développé des liens avec la branche maghrébine d'Al-Qaïda.
Le président nigérian Goodluck Jonathan a promis que tout serait fait pour que les coupables soient jugés mais les autorités ont jusqu'à présent échoué à empêcher la secte de multiplier ses attaques de plus en plus fréquentes et meurtrières.
Une trentaine de commerces gérés par des chrétiens ont été brûlés à Potiskum (nord-est) dimanche soir, selon la police et des témoins, faisant craindre une nouvelle vague de violences sectaires au Nigeria. Un supermarché a aussi été incendié de même que le domicile d'un dirigeant chrétien local, selon un habitant.
A Madalla, près de la capitale Abuja, des centaines de chrétiens ont assisté lundi à une messe célébrée dans une église visée la veille par un attentat qui a fait 35 morts, l'assaut le plus meurtrier parmi la vague d'attentats qui a secoué le Nigeria le jour de Noël.
Des tâches de sang maculaient le mur extérieur de l'église Ste Theresa et des secouristes ramassaient encore lundi des restes humains jonchant le sol devant l'édifice. L'explosion a retenti alors que les fidèles sortaient de l'édifice. Certains ont brûlé dans leurs voitures et d'autres, blessés, se sont précipités vers un prêtre pour demander l'extrême onction.
L'archevêque Martin Uzoukwu, en célébrant la messe en souvenir des victimes, a appelé les fidèles à ne pas avoir recours à la violence. "Ce dont nous avons besoin, c'est de vos prières", a-t-il dit.
A Damaturu (nord-est), par centaines, des habitants étaient rassemblés lundi matin devant des stations de taxis et arrêts de bus pour fuir la ville en proie à un nouveau cycle de violences et théâtre d'un attentat suicide dimanche.
Damaturu a aussi été secouée jeudi et vendredi par des combats entre des adeptes de Boko Haram et les forces de l'ordre qui ont fait près de cent morts.
La "situation est terrifiante"
"C'est calme aujourd'hui mais rien ne garantit qu'il en ira ainsi dans les prochaines heures", lance un homme devant un arrêt de bus. "Des gens ont été tués et je pourrais être la prochaine victime".
Damaturu semblait calme lundi mais "la situation est terrifiante. Personne ne peut dire ce que sera la prochaine cible. Ma maison a été incendiée dans les attaques", déclare un commerçant de 42 ans accompagné de sa femme et de leurs trois enfants, attendant de pouvoir monter dans un véhicule pour quitter la ville.
Les attentats contre des églises chrétiennes et d'autres cibles qui ont fait une quarantaine de morts le jour de Noël ont été revendiqués par un porte-parole de la secte radicale islamiste Boko Haram, qui veut instaurer un Etat islamique au Nigeria.
Le pape Benoît XVI a fait part lundi de sa "profonde tristesse" et le secrétaire général de l'ONU Ban Ki-moon a appelé à la fin des violences au Nigeria, pays le plus peuplé d'Afrique avec 160 millions d'habitants également répartis entre musulmans, majoritaires dans le nord, et chrétiens, plus nombreux dans le sud.
La chef de la diplomatie de l'UE, Catherine Ashton s'est dite "profondément choquée" et a apporté son soutien aux autorités nigérianes dans "leur combat contre le terrorisme".
Des observateurs redoutent que la secte Boko Haram, qui se réclame des talibans afghans et dont les actions sont de plus en plus sophistiquées, n'ait développé des liens avec la branche maghrébine d'Al-Qaïda.
Le président nigérian Goodluck Jonathan a promis que tout serait fait pour que les coupables soient jugés mais les autorités ont jusqu'à présent échoué à empêcher la secte de multiplier ses attaques de plus en plus fréquentes et meurtrières.
AFP
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